AccueilAccueil  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  Connexion  
Le deal à ne pas rater :
Funko POP! Jumbo One Piece Kaido Dragon Form : où l’acheter ?
Voir le deal

 

 harry lopez

Aller en bas 
Aladdin

Aladdin

- this is mePRESENT(E) DEPUIS : 19/07/2017 MESSAGES : 511 CREDITS : av/olympia.
- more about me

harry lopez Empty
MessageSujet: harry lopez   harry lopez EmptyLun 13 Mai - 15:13


♡ ♡ ♡ ♡ ♡
(harry lopez)

( FIRST NAME ) harriet, couvert de particules de poussière avec une odeur de renfermé. seule la famille est autorisée à l'appeller harriet, parce qu'ils partagent un même sang et les mêmes douleurs du passé. pour tous les autres, elle est harry - on rit d'elle, on lui rappelle le sorcier à baguette et elle laisse un sourire énigmatique étreindre ses lèvres. elle ne le dira pas, qu'harry, ça fait toujours moins mal. ( LAST NAME ) née mara, du nom paternel comme le veut la tradition. elle l'a portée, fièrement, jusqu'à ses quinze ans, à peu près. la trahison a été douloureuse, rompant définitivement la connexion qui avait pu se faire entre père et fille ; alors, quand son frère a proposé qu'ils reprennent le patronyme maternel, harry, elle n'a pas hésité longtemps. elle est devenue une lopez pour ne plus être associée au traître et pour mieux accepter le sang latin qui coule dans ses veines. ( ÂGE ) à l'aube de sa trente-deuxième années, elle a rejoint cet entre-deux sans savoir si elle est heureuse de ne plus être considéré comme une enfant ou si elle a peur de l'avenir. ( BIRTH ) miami éteignait ses lumières, s'apprêtant à se recouvrir d'un drap étoilé. il n'était pas encore tout à fait vingt-trois heures ce 15 mars qu'harriet était née. ( ORIGINES, NATIONALITES ) sur le papier, elle est américaine car née sur le territoire des états-unis. pourtant, mama est originaire de porto rico, n'a rejoint le sol américain que pour épouser celui qui lui brisera le coeur. ( EMPLOI ) flic à la brigade des stups, son quotidien est un roman policier digne de don winslow et, pourtant, elle n'a toujours pas connu la moindre course poursuite. ( STATUT CIVIL ) le célibat la poursuit, ponctué d'histoires plus ou moins longues. elle en rêve, pourtant, du conte de fée, mais le divorce de ses parents a laissé sur son âme et son coeur une marque indélébile jusqu'à creuser des peurs (toutes plus irrationnelles les unes que les autres, elle le sait) qu'elle ne parvient pas à surmonter. ( ORIENTATION SEXUELLE ) hétérosexuelle qui rêve d'un prince pour lui faire vivre un conte de fées. elle s'attache aux hanches larges, aux regards profonds et aux airs idiots (surtout aux airs idiots).  ( GROUPE ) eat life.

( THIS IS WHAT I'M MADE OF ) (001.) c'est son père qui a choisit son prénom, deux semaines avant la naissance. une illumination, près l'avoir entendue lors d'une affaire qu'il traitait. un véritable coup de coeur - harriet, elle a toujours aimé son prénom, même s'il est un peu ancien, même s'il fait peut-être trop féminin, pour elle. mais les émotions et les souvenirs (trop bons mais trop mensongers) rattachés à l'entièreté du prénom ont versé trop de larmes et elle a préféré le diminuer. harry, plus court, plus elle, peut-être, sous bien des angles. ça invite à la confusion (souvent, ses premières années au sein du poste de police, les collègues et supérieurs ont assumé qu'elle était un homme et tombaient des nues en la découvrant, elle et sa silhouette menue) mais ça lui convient bien mieux. (002.) elle a toujours refusé de jouer le rôle de la princesse en détresse, mais a toujours forcé ses frères à la suivre quand elle voulait prendre le rôle de la maman. trop maternelle, peut-être, assurément trop protectrice avec eux, elle était celle qu'ils appelaient quand ils étaient charriés, brimés et elle n'hésitait pas ni à jouer du poing, ni à terroriser les petites frappes de la cour de récréation pour aider ses frangins à se faire respecter. elle aime les taquiner, se moquer d'eux avec tendresse et fait la collection de photo-dossier pour toujours être en mesure d'acheter leur silence ou avoir un levier en cas de besoin. le divorce n'a fait que renforcer leurs liens, les rapprocher davantage. (003.) les larmes ont laissé un sillon sécher de mascara quand elle a appris pour ses parents. elle a voulu nié, l'a même fait, jusqu'à croiser le regard plein de détresse de sa mère, celui, fuyant, de ses cadets et surtout, la culpabilité dans les yeux de son père. elle a fermé le poing, a ravalé tout ce qu'elle avait sur le coeur, a encaissé. elle se sentait trahie, presqu'autant que pouvait l'être leur mère. son père, son héro, ce traite. elle a fuit le domicile familial les premiers jours, incapable de rester sous le même toit que lui, sous le même toit que leur mère. elle s'en est voulue très rapidement, sans parvenir à pardonner. il était peut-être celui qui provoquait la rupture, mais leur mère, elle était celle qui n'avait rien vu venir. avec le recul, harry pense qu'elle s'en est surtout voulue, de n'avoir rien vu. elle a finit par rentrer, à finit par cracher son venin sur ses frères, avant de terminer sur leur mère ; s'est stoppée quand mama s'est effondrée à genoux, les larmes dévastant cette femme pourtant d'ordinaire si forte. elle n'a jamais réglé ses comptes avec son père, parce qu'elle a préféré l'ignorer, renié son existence. elle n'en parle plus, agit comme s'il était décédé et évite de croiser sa route. (004.) elle est passionnée de littérature, dévore mouawad avec la même véracité qu'elle dévore le dernier joyce maynard. elle cite ses auteurs préférés au détour des conversations, consciente que personne ne comprend ses références mais néanmoins fière à chaque fois qu'elle parvient à quoter les plus difficiles. elle tient le compte de ses propres points, se challenge jusqu'au prochain défi. (005.) son coeur romantique la fait tomber amoureuse, régulièrement. elle sourit, elle flirte, elle s'engage dans les chemins sinueux. mais quand tout commence à devenir un peu trop sérieux, elle est prise de panique. elle pleure, elle tremble et elle s'échappe. what if he leaves me? what if he realises he doesn't love me anymore? les questions la hantent, l'empêchent d'y croire, l'empêchent de lâcher prise et de connaître le bonheur. elle ne le frôle même pas, se contente de l'apercevoir tout au bout du chemin tandis que les obstacles qu'elle dresse elle-même lui obstruent peu à peu la vue. (006.) elle a toujours eu envie d'un job qui bouge. pas de bureau, pas d'enfermement. elle avait besoin de se dépenser, de frôler le danger, de jouer des jeux dangereux. intégrer l'école de police a coulé de source - le choix de la spécialité, beaucoup moins. elle a laissé le hasard décidé pour elle, à défaut de pouvoir jeter les dés sur la table. elle aurait espéré les moeurs, se complaît finalement chez les stups. alors elle y reste. elle reste discrète, possède quelques indics cumulés au fil des années. elle voudrait plus, pourtant. elle rêve d'infiltration pour coincer un malfrat à la tête d'un réseau, sait que cette enquête pourrait faire décoller sa carrière ou y mettre un terme. elle négocie mais les infiltrations lui sont exclues, pour le moment. (007.) addict à la télévision, elle pourrait passer des heures devant des séries. elle a rapidement abandonné tout ce qui était médical ou policier, beaucoup trop proche de son quotidien (même si ça l'amuse toujours de voir les clichés du flic désabusé et alcoolique), se détend devant quelques séries pour teenagers dont elle a un peu honte. (008.) elle s'est fait connaître dans son cercle d'amis pour être celle qui ne tient pas l'alcool - celle qui passe par différentes étapes à mesure qu'elle descend les verres (certains l'ont même surnommée santiago en référence à brooklyn nine-nine). les deux premiers verres, elle parle trop fort, émet des sarcasmes et roule des yeux. le quatrième verre laisse place à l'overconfident harry, celle dont toutes les peurs sont désinhibées, celle qui se trémousse sur la table avant de lancer des défis qu'elle perdra. le sixième verre entame perv!harry, celle qui lance des regards lubriques et fait des sous-entendus dont elle ne se souvient jamais le lendemain. entre le huitième et le neuvième verre, elle devient philosophical, adepte de grandes théories et de mots compliqués qu'elle est la première à ne pas connaître, moins encore comprendre. (009.) elle se mord l'intérieur de la joue quand elle n'est pas à l'aise, joue avec la peau morte autour de ses ongles quand elle réfléchit. elle se passe la main dans les cheveux beaucoup trop de fois par jours et elle ne se coiffe que trop rarement (de l'opinion générale, pas de la sienne). elle vide les tasses de café comme les paquets de bonbons acidulés, fait réchauffer des plats tout préparés comme d'autres coupent les oignons finement. elle a horreur du gaspillage et ne sait pas faire vivre une plante verte plus de quatre jours. elle a son téléphone greffé à sa paume et une arme dans le tiroir de sa table de nuit. elle se réveille aux pas d'une souris mais reste sourde aux coups de tonnerre. (010.) thybalt reaghan. celui qui lui permettra de boucler son plus gros gibier - elle le sait. il attend d'elle autant qu'elle attend de lui. des réponses, une efficacité, les gros titres. elle imagine parfois son nom accolé au sien, se surprend à rêver qu'il lui souffle des félicitations plutôt que des reproches parce que les preuves sont irrecevables devant un jury. parfois, elle voudrait lui enfoncer son poing dans la figure, d'autres fois le serrer dans ses bras. il est dangereux, pour elle. mais elle ne peut boucler son enquête sans lui - et, sa priorité, c'est son job. (011.) elle est, étrangement, bonne avec les chiffres. non contente de calculer rapidement, elle retient des séries de chiffres, des dates, des coordonnées. elle ignore comment elle fait, elle sait juste que les chiffres défilent dans son esprit comme une ronde en trois dimensions et qu'ils s'assemblent. (012.) uc. (013.) uc. (014.) uc. (015.) uc.

this is me:
Revenir en haut Aller en bas
Aladdin

Aladdin

- this is mePRESENT(E) DEPUIS : 19/07/2017 MESSAGES : 511 CREDITS : av/olympia.
- more about me

harry lopez Empty
MessageSujet: Re: harry lopez   harry lopez EmptyLun 27 Mai - 15:36


Harry a écrit:
Mon. 7th february, 4:45 am
TO : bob newby
Tu manges toujours chez maman demain ? Je crois que j'ai oublié mon plaid rouge la dernière fois et je me les pèle la nuit (qui l'eut cru, right ?), tu serais un amour de me le ramener. (i'll owe you one, i knooooow, i promise i'll make it up 2 u).
ps - c'est toi qui a mes dvd de glee ? i'd like them back, tysm

Le soupir s’échappe de ses lèvres pincées, elle se passe une main sur la nuque raidie par les heures de concentration. Elle ferme les yeux une fraction de secondes, prête à s’enfouir la tête dans ses mains, à laisser exploser frustration et agacement. Elle pourrait tout foutre en l’air, rêverait de vider un chargeur à la salle de tirs, appeler Reaghan pour lui dire qu’elle lâche l’affaire. Qu’elle n’est pas à la hauteur – qu’il ferait mieux de demander à quelqu’un d’autre, quelqu’un avec plus de compétences, plus de contact, aussi. Un regard jeté sur le dossier toujours aussi fin et éparpillé sur son bureau fait voler sa résolution en éclat. Mille petits morceaux d’évidence et rien pour les relier. Rien pour les mener à celui qui est pourtant connu pour être à l’origine de ce merdier sans fond. Le fauteuil couine quand elle se laisse tomber dedans lourdement, la tête rejetée en arrière, les paumes appuyées contre ses paupières fermées. Holy fucking shit. Elle déteste être désemparée, déteste cette sensation de proximité et d’éloignement en même temps, déteste ne pas être suffisante. Elle ravale un cri, un hurlement bestial qui voudrait pourtant s’exfiltrer de ses lèvres scellées quand elle reconnaît un poing qui cogne contre la porte en plexiglas de son bureau. Not now, qu’elle voudrait soupirer, la colère au fond des entrailles. Mais elle ouvre un œil et reconnaît le visage d’Ellroy, son regard d’hiver et son sourire d’enfant malgré ses trente-cinq ans. Il a un bras levé, affiche un sac contenant de la nourriture et, malgré elle, Harry laisse un sourire étirer ses lèvres. « Je me suis dis que tu aurais besoin de manger un bout. » Ses bras retombent avec un soupir, elle se lève, l’accueil d’un bref baiser, l’invite à s’assoir sur l’une de ses chaises. « Tu tombes à pic. » Comme toujours. Il a une main en bas de son dos avant qu’il n’extirpe du sachet le burger qui lui fera office de dîner pour ce soir, un air mystérieux plaqué sur son visage. Ils échangent, quelques mots, quelques frites, quelques coups d’œil. « Ma mère voudrait te rencontrer. J’avais pensé qu’on pourrait aller manger chez elle ce week-end ? » Elle manque de recracher sa bouchée, vient de perdre son appétit. Elle redoute ses mots, ceux-là comme tant d’autres. « Quoi ? » Ce n’est qu’un souffle, une supplique, un please don’t do this. Elle l’apprécie, sincèrement, aurait préféré qu’il se taise. Ellroy hausse les épaules, ignorant tout de la bataille qui implose dans son crâne, dans son cœur. « Ne t’inquiète pas, je lui ai dis de ne pas faire de plans sur la comète mais… Elle voudrait savoir qui est celle qui me rend aussi heureux. » Elle n’arrive plus à respirer, les larmes emplissent ses yeux, elle se lève, se détourne. Elle a les bras qui cherchent à se réconforter mais c’est trop tard et elle voudrait retenir les mots, elle voudrait enfermer les hurlements qui résonnent dans son esprit – mais elle n’entend qu’eux. « Ce n’est pas une bonne idée. » Elle a la voix étranglée par les émotions, les regrets amers d’une relation déjà terminée. Elle a voulu y croire, pourtant. « Comment ça ce n’est pas une bonne idée ? » Il ne comprend pas, ils ne comprennent jamais. Elle ferme les yeux, ravale ses larmes, ravale ses excuses parce qu’elle sait que ça ne servirait à rien. « Ellroy, je – je ne pense pas que je devrai rencontrer ta mère. Ni ce week-end, ni dans le week-end prochain. Je – Merci pour le dîner mais je pense qu’on devrait en rester-là. » Elle déteste chacun des mots qui lui échappent, elle se déteste pour les prononcer. Les images de sa mère brisée lui reviennent, celles des miettes de la famille Mitchell après la trahison et elle sait que c’est idiot mais elle refuse de souffrir de la même façon. Elle refuse de se sentir coupable pour l’échec d’une relation quand l’autre en est la seule cause. Ils échangent un regard, elle lit toute la peine qu’elle lui cause, elle lit les questions qu’il n’ose pas lui poser. I am so sorry. Il se lève enfin, quitte son bureau après un dernier regard par-dessus son épaule. Il disparaît de sa vue, disparaît du poste et elle retourne sur son fauteuil, éclate.

Harry a écrit:
Tue. 8th february, 09:20 pm
TO : suicide squad
Rdv au bar habituel à 10 ?


« I’m a meeeeeeeeeeeess, » gémit-elle en reposant le verre de tequila sur la table en bois, sa tête ne tardant pas à suivre. Une main compatissante se pose sur son épaule mais les mots ne sont pas prononcés – ils n’en pensent pas moins, pourtant. Que c’est de sa faute, encore une fois. Ils n’osent pas souffler ces quelques mots ce soir, parce que c’est encore frais, mais elle sait qu’ils lui lanceront ce regard le lendemain, quand elle peinera à se remettre de sa gueule de bois et qu’ils lui feront remarquer que ça ne tient qu’à elle de faire en sorte que ses relations fonctionnent mieux. Ils n’ont pas tort et elle sait. Mais c’est plus fort qu’elle et elle capitule à chaque fois que la panique commence à la gagner. Elle souffle, relève la tête qu’elle plonge dans ses mains, le sanglot dans la gorge. Le sang pulse dans ses tempes, elle descend un autre shot qui vient de leur être servi et son pied tape la mesure contre la jambe de l’un des membres du squad (lequel, elle ne le sait pas parce qu’elle a la tête tournée en direction du groupe qui joue). « Hey hotshot, shall we? » Elle ne lui laisse pas le temps de répondre, a déjà attrapé sa main pour l’entraîner sur la petite piste de danse, rapidement suivi par le reste de la bande et elle se trémousse, l’esprit complète inhibé par l’alcool bu. Elle glousse, les bras enroulés autour du cou de son partenaire avant de capter le regard insistant d’un autre danseur sur sa pretty friend. Elle se penche dans sa direction, une main agripée à son t-shirt pour s’équilibrer avant de lui mouth-breath un he’s hot go for it, et de ricaner de plus belle. Dans sa poche, son téléphone vibre et elle s’éloigne tant bien que mal en essayant de déchiffrer le nom de l’appelant. « Lopez. What can I do for ya Reaghan? » Elle est proche de la porte, le plus éloignée possible des baffles qui crachent le son électro-rock du groupe présent dans le bar, essayant de se concentrer sur les paroles du substitut. Elle a le cœur qui cogne quand il évoque un nouveau gamin tabassé à cause d’un deal qui a mal tourné, le cœur qui se tort quand il lui dit qu’il veut qu’elle vienne à son bureau le plus tôt possible pour qu’ils se remettent au boulot. Il ne demande pas, Reaghan, il exige – et sans doute qu’elle ne devrait pas se sentir aussi touchée qu’il l’exige, elle, plutôt qu’une autre. Elle assure qu’elle sera là sous peu, promet silencieusement qu’elle ne compte pas le laisser bosser seul ce soir et agite la main en direction de son squad pour attirer leur attention. « Sorry guys, le devoir m’appelle. On se revoit demain, hein ? Si je vous donne pas de nouvelles c’est que j’aurai fui le pays à cause de Reaghan. » Ou avec lui. Elle dépose un baiser sur la joue de chacun, s’échappe finalement du bar, les bras écartés dans la nuit. Il faut qu’elle dessaoule et vite.
Revenir en haut Aller en bas
 
harry lopez
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» jemina lopez
» harry dunham

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
 :: (city)-
Sauter vers: