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 alessandro casiraghi

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- this is mePRESENT(E) DEPUIS : 19/07/2017 MESSAGES : 202 CREDITS : av/ burnonfire
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MessageSujet: alessandro casiraghi   alessandro casiraghi EmptyJeu 22 Juin - 11:36


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(alessandro, casiraghi)

( FULL NAME ) alessandro, plus souvent diminué en ales ou bien sandro par ses amis proche. héritage d'un grand-père paternel resté au pays, un homme brave et bon, à ce qu'il se dit. casiraghi, patronyme hérité du père, preuve indélébile de son appartenance à l'europe conquérante. ( ÂGE, BIRTH ) il vient d'entrer dans sa quatrième décennie sans trop y croire. sûrement qu'il ne réalise pas encore totalement tout ce que cette quarantaine d'année signifie et implique, pour lui... en plein coeur de la canicule de boston, au milieu d'un mois d'août particulièrement chaud et avec deux semaines et demi d'avance. ( EMPLOI, ETUDES, $$$ ) chief executive officer d'une multinationale de la trempe de google en matière de recherche qui vient, enfin, de trouver des actionnaires au sein de wall street. keen est l'avenir, c'est le slogan qu'ils affichent dans les campagnes publicitaires. particulièrement aisée, il n'a plus craindre les fins de mois depuis de longues années. peu dépensier au début de sa carrière professionnel, il a pu économiser de belles sommes et, maintenant, dort sur ses deux oreilles. ( STATUT CIVIL, ) célibataire, trop ancré dans le boulot pour réfléchir à se poser une fois pour toutes. il connaît des aventures plus ou moins longues, mais les sentiments sont rarement invoqués. ( A NYC DEPUIS ) il s'est installé dans la grosse pomme il y a quelques mois. il est encore à la recherche de ses marques, essaie encore de se faire à ce nouveau rythme de vie. boston est peut-être une grande ville, elle ne ressemble en rien à new york. ( GROUPE ) outsider

( THIS THINGS ARE WHO I AM ) charmant, atruiste, sarcastique, charmeur, toujours à voir the bigger picture, organisé, méthodique, maniaque, loyal, honnête, ambitieux, humble, peu discret, colérique.

BOSTON / oh, désolée mon chéri mais on ne va pas pouvoir aller voir le match, finalement... les problèmes d'argent, les promesses non tenues, alessandro a grandi avec. père ouvrier dans le bâtiment, une mère couturière dans une toute petite (trop petite) entreprise de textile, les fins ont souvent été difficiles pour la famille casiraghi. beaucoup de soupe durant les hivers, beaucoup de pâtes et de riz le restant de l'année. il a appris à ne pas être difficile avec la nourriture, à ne jamais jeter, à économiser son argent de poche pour aider. -- papa, toutefois, avait toujours les idées grandes et les yeux plus gros que le ventre. il voulait vivre au-dessus de leurs moyens, offrait des restaurants tout en sachant que le chèque ne pourrait probablement pas être encaissé. de sa hauteur d'enfant, alessandro comprenait, baissait les yeux et tournait la tête. il évitait de voir les mensonges de la bouche de son père, serrait la main de sa mère avec l'estomac noué. -- l'angoisse s'est transformée en anxiété, puis en phobie. il n'y avait pas de nom pour la nommer, il n'y en a toujours pas. alessandro, il sait juste qu'il fera toujours tout ce qu'il peut pour ne jamais en arriver-là, pour toujours subvenir aux besoins de sa famille et tant pis s'il doit se tuer à la tâche pour ce faire. il refuse l'incertitude, il refuse de ne pas avoir d'emprise sur ses lendemains. THE ACCIDENT / rêve de gamin, ambition banale. alessandro voulait devenir pompier, se sentir utile, aider, protéger. il aura suffit d'un casque bien trop large, beaucoup trop lourd, pour qu'il en fasse une mission. plus tard, il sera pompier, il ira combattre le feu, tirer quelques chats dans des arbres et portera fièrement l'uniforme. on prévoyait que ça lui passerait, qu'il finirait par changer d'avis comme la plupart des gosses. c'est resté. quasiment jusqu'à la fin. -- de formation en formation, il a fini par accomplir son rêve, rejoindre ce qui semblait être sa destinée. pompier volontaire. le rang étirait un sourire enfantin sur ses lèvres, laissait son regard étinceler de fierté. il rejoignait le camion rouge quand on l'appelait, se pavanait aux côtés du damaltien lors d'événements officiels. la sensation d'accomplissement battait ses tempes, lui donnait l'énergie nécessaire pour avancer et continuer. -- le feu se propageait rapidement, les flammes dévorant l'extérieur de l'immeuble, la fumée intoxicant les couloirs et allées. alessandro avait été appelé en renfort. il s'était élancé avec son collègue, avait repéré la silhouette de l'enfant terrifiée et reculée. il n'y avait eu qu'un regard échangé. le bois avait craqué. les planches avaient cédé. il était parvenu à rattraper la fillette, les doigts gantés enroulés autour de son poignet fragile. il sentait les flammes lécher son dos, percer la tenue. le collègue s'était précipité pour l'aider à remonter la gamine. il était tombé peu après, la gosse blottie entre les bras d'un alessandro encore abasourdi, encore incrédule, encore sous le choc. il était ressorti, avait voulu y retourner, on l'en avait empêché. c'est trop tard. et ça l'était. ils ont ressorti un corps calciné. alessandro, il garde encore la marque de ce jour sous la forme d'une brûlure cicatrisée sur l'omoplate droite. il a quitté les pompiers, incapable de voir autre chose que les mêmes images en boucle. KEEN / au départ, ce n'était qu'un petit post. quelques lignes de programme à rédiger et corriger, peu de possibilités d'évolution (à première vue). boulot pas toujours très bien payé ; beaucoup d'heures supp, peu de reconnaissance pour toutes ces heures passées à réparer les conneries des autres. jusqu'à ce que jerry le prenne sous son aile. pourtant à peine plus vieux, mais l'expérience en plus. jerry, il a cru en lui. alors alessandro, il a commencé à croire en lui, aussi. -- quand il a été nommé ceo, peu de personne l'ont vu d'un bon oeil. il n'avait pas les épaules pour la place. il allait se faire bouffer par les actionnaires. il sortait de nulle part, n'avait aucune légitimité à prendre le poste qui semblait revenir à quelqu'un d'autre (mais aucun nom ne fut jamais prononcé, sans doute parce que, dans le fond, tous savait qu'alessandro était le seul qui convenait). il avait grimpé les échelons un à un, jusqu'à obtenir cette place d'or. le trophée au bout du chemin. NEW YORK / keen s'étend. la petite entreprise sans grande prétention connaît un succès ravageur auprès de certains de ses clients (majoritairement des entreprises privées et locales aux alentours de boston), a même fini par attirer l'attention de wall street. jerry et alessandro s'y sont rendu, ont présenté ce qu'ils avaient mis tant d'années à bâtir. l'avenir semblait incertain et en même temps assuré. ils ont charmé, obtenu gain de cause. de filiale l'entreprise a maintenant le nouveau statut de multinationale. certains pays d'europe aimeraient s'y joindre - mais une étape à la fois. d'abord, il leur faut conquérir new york. ça, c'est le rôle d'alessandro. la tour vient d'être construire, grande, neuve, toute en verre comme tant d'autres buildings récents. quarante-quatre étages au total, trois occupés par keen. à sa tête, alessandro, chargé de veiller à l'extension à new york et de trouver des clients sur place.

001. frappe gauche, revers, crochet du droit. frappe gauche, revers, crochet du droit. deux soirs par semaine, alessandro rejoint le club de boxe niché dans les entrailles de brooklyn, déferle ses coups sans retenue. il puise dans la sueur et la fatigue, oublie systématiquement la vie qui tourne, le monde qui avance. inscrit depuis la fin de l'adolescence à cause d'une rage qu'il était d'abord incapable de laisser aller, il l'use maintenant comme un moyen de réflexion. un moyen de détente. il ne participe jamais à aucun tournoi, ne cherche pas à se faire le moindre argent, sale ou propre, dessus. la boxe, c'est ce qui lui a permis de ne pas sombrer, toutes ces années plus tôt, quand les pompiers lui ont été arrachés. il s'y raccroche avec la vélocité du désespoir. 002. passionné d'horlogerie depuis tout petit, il fait la collection des montres - qu'elles soient de marque ou non, il les achète sans réfléchir, en change tous les jours. il aime se pavaner avec sa plus récente acquisition au poignet, rappeler à tous qu'il est parti de bas pour atteindre les sommets. mais ça ne dure jamais totalement. l'humilité s'empare de son âme à chaque fois et il dissimule toujours le cadran, les aiguilles par sa chemise. 003. s'il pouvait être doté d'un pouvoir, il choisirait celui de voler sans l'ombre d'une hésitation. il aime prendre de la hauteur, surplomber les choses et les gens pour les observer d'un angle différent, plus unique. il aime se percher, trouver refuge sur le toit d'un building, ce que ce soit celui de son immeuble ou bien de son entreprise, respirer à plein poumon et voir le monde en contrebas. 004. son duplex est un mélange de plusieurs pages du catalogue ikea. à l'image de jack, il reproduit à l'identique la célèbre entreprise. chaque pièce est fonctionnelle, élégante et sobre. c'est à peine s'il ose accrocher quelques tableaux (une aquarelle, toutefois, trône dans son living room) pour personnaliser un peu les lieux. 005. même s'il a grandit à boston, ses parents lui inculqué les valeurs italiennes, l'amour et la fierté de leurs origines européennes. c'est sans doute son éducation à l'italienne qui lui a fait choisir little italy quand il est arrivé à new york. à la pointe de manhattan, il se délecte des mots italiens qui sont balancés d'un bout à l'autre de la rue et qu'il ne comprend pas toujours (son apprentissage de la langue date du lycée, il a honte de l'admettre mais il est plus que rouillé). 006. il a commencé à fumer après avoir quitté l'hôpital, suite à l'incendie. pour évacuer le stress que tout ce bordel avait provoqué. pour évacuer la tension de ses épaules à chaque fois que les images du corps calciné venaient l'assaillir. pour essayer de se détendre, après chaque cauchemar et souffler, tous les soirs. c'est devenu une habitude plus qu'un anti-stress, une manie de tirer la clope du paquet quand il ne sait pas quoi faire de ses mains mais qu'il a besoin de les occuper. 007. tout le monde lui dit qu'il a la fibre paternelle. et il le reconnaît : il s'en sort bien, avec les gamins. mais ce n'est pas pour autant qu'il en veut. il sait leur conter des histoires, le soir, pour les endormir ; il sait entraîner ceux qui le veulent au baseball et ne rechigne jamais à prendre le thé dans une dînette. mais son amour pour les enfants s'arrête à ceux de sa famille, ceux qu'il peut côtoyer plus ou moins régulièrement et surtout : ceux dont il n'a pas à s'occuper pleinement. on lui répète que c'est parce qu'il n'a pas trouvé la bonne, il n'en sait rien. il n'arrive pas à s'imaginer père. 008. à la recherche d'adrénaline ou de nouvelles expériences à sensation forte, il est surtout fan de vitesse. pas tant dans sa conduite (bien qu'il aime essayer les bijoux des concessionnaires auto pour le plaisir de pousser sur le champignon) que d'une façon plus générale. c'est grisant, de ne pas avoir le temps d'admirer le paysage. c'est exaltant, de voir le monde à la vitesse supérieure. 009. les mauvaises langues le prétendent narcissique parce qu'il a de l'argent et qu'il n'en cache pas ; ceux qui lui sont plus proches savent pourtant qu'il n'en est rien. il ne le dit pas, ou trop peu, mais il prend soin d'un certain nombre d’œuvres caritatives. surtout quand il s'agit de maladies incurables ou d'enfants à l'hôpital. il ne compte plus les donations qu'il signe chaque année sans regarder le nombre de zéro qu'il appose sur le chèque, il donne. si ça peut servir, si ça peut aider, il n'estime pas avoir besoin de la moindre reconnaissance. moins encore de la fausse publicité des paparazzis.

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