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 cameron clarke

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- this is mePRESENT(E) DEPUIS : 19/07/2017 MESSAGES : 202 CREDITS : av/ burnonfire
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MessageSujet: cameron clarke   cameron clarke EmptyLun 8 Nov - 17:45


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(prénom, nom)

( FIRST NAME ) réponse juste ici ( LAST NAME ) réponse juste ici ( ÂGE, BIRTH ) les trente-et-une années qui ont du mal à passer, l'impression de vieillir sans avoir rien accompli de signifiant, ou marquant. il aurait rêvé d'un empire plus imposant, à peine parvenu à ses trente ans, le rêve venu se fracasser contre la réalité. alors maintenant, il appréhende chaque nouveau premier novembre, jour qui annonce le changement d'année pour lui quand il voudrait pouvoir ralentir le temps et, enfin, faire quelque chose qui change. ( EMPLOI OU ETUDES ) $$$$$, l'argent jamais un problème jusqu'à présent et, rumor has it que ce ne sera jamais le cas. la fortune des parents clarke pour l'enrouler d'un fil d'or toute son enfance, cuillère en argent et grand luxe pour accompagner les mauvais jours. et si l'héritage ne suffit pas, il peut compter sur le succès de clarke's mag dont il est le co-propriétaire et superviseur de l'aspect juridique. garde partagée de l'empire avec la frangine lizzie, partage aussi des tâches et il lui lègue volontiers tout l'aspect managérial et marketing. ( STATUT CIVIL ) les papiers pas encore signés, qui attendent dans un tiroir de son bureau au siège du clarke's mag. l'instance de divorce qui lui pend au nez depuis plus longtemps qu'il ne veut l'admettre, pas assez présent depuis le décès de bastian ou peut-être trop exigeant. l'échec du mariage auquel tout le monde a cru, perfection dans l'idée, chaos dans la réalité. il est responsable, cam, et il voudrait la retenir sans savoir comment faire ; alors peut-être que ne pas signer les papiers sont la seule solution qu'il ait trouvé pour qu'elle ne s'enfuie pas totalement. ( ORIENTATION SEXUELLE ) la question jamais vraiment posée, peu d'intérêt à se coller une étiquette, il se considère toutefois hétérosexuel davantage parce qu'il sait être attirée par les femmes plus qu'autre chose ; il ignore s'il n'a just pas rencontré le gars qui lui fera tourner la tête ou s'il ne considère pas les hommes comme autre chose que des buddies. ( FAMILLE ) premier né de la fratrie clarke, pourtant sur le papier, il est fils unique. issu d'un premier mariage déjà un peu bancale, la naissance de l'enfant pour essayer de recoller les morceaux, il a failli à sa première tache, cameron, avant même d'en avoir conscience. les parents séparés bien avant qu'il n'ait un an. le premier échec comme pour le marquer à vie (ou peut-être suranalyse-t-il tout). mère peu avenante, la fibre maternelle prétendue innée jamais vraiment développée, la garde a vite été accordée au père ; le cadre familial, cam, il l'a obtenu avec le remariage de ce dernier. le tout précipité, cérémonie à laquelle il a participé (non pas qu'il en ait le moindre souvenir, juste des photos qui ressortent régulièrement) et puis la naissance de cette première soeur, elizabeth. rapidement suivie par d'autres, véritable tribu que les clarke. il ne s'est jamais senti différent d'eux, malgré un ou deux week-end passés chez sa mère avant d'y renoncer, bien trop attaché à la fratrie pour les quitter, ne serait-ce que durant deux jours. aucun enfant à déclarer, pas faute de l'avoir planifié à l'avance - mais il est des choses qui ne peuvent pas totalement se prévoir, il l'a appris un peu à ses dépends, cam. ( ENDROIT PREFERE ) la relation love/hate avec la tombe de son petit frère. c'est qu'il ne peut pas s'empêcher de s'y rendre, cam, comme attiré bien malgré lui par cette pierre à l'inscription à jamais gravée, portant à jamais le nom de son cadet ; c'est qu'il a parfois l'impression de sentir la présence de bastian, là-bas. comme une écoute ou une main sur son épaule. mais il y a aussi ce ressentiment, cette culpabilité qu'il porte et qui ne cesse de le ronger, cette date inscrite et qui lui rappelle que c'est de sa faute si bastian n'a pas vécu autant qu'il aurait du. ( GROUPE ) l'ambition pour le motiver, le modèle des parents pour le forcer à redoubler d'effort ; plus souvent vert de jalousie de ce qu'il ne possède pas encore qu'autre chose, la volonté de se démarquer du patriarche clarke pour devenir sa propre personne, son propre exemple (envy).

( THIS THINGS ARE WHO I AM )
ambitieux, taciturne, mesquin, moqueur, sociable, généreux, déterminé, logique, protecteur, réfléchi, détendu, plein de ressources, impatient, cynique, méticuleux, persévérant, hypocrite, esprit de leadership, jaloux, diplomate, confiant, self-centred par moment, autonome, peu expansif, drôle, concentré

( one. ) i'm one, i'm a few. les mots pour venir coller aux clarkes, entité devenue légion. souvent par cinq ou au moins en binôme, attaquer l'un et quatre débarquent en renfort. cam l'aîné, cam le demi seulement mais toujours considéré comme un entier. cam le surveillant des autres, autorité illusoire. la seule mission qu'il s'est donné, toujours veiller sur les plus petits (que ce soit de seulement deux ans ou bien de huit), les initier aux conneries qu'il a testé, leur apprendre ce qu'ils ignorent. la fratrie comme un rempart au reste du monde, tous différents, tous liés. le sang comme un serment d'unité (comme signature du pacte auquel il les aura forcé, aussi, à l'adolescence). les private jokes nombreuses, surtout avec lizzie, la deuxième face de la pièce qu'il représente, la première à avoir fait de lui un membre de la famille et un grand frère - ce rôle pris un peu trop à coeur, peut-être. le profit de sa position d'aîné pour jouer de la naïveté des plus jeunes (si si, tu as été nommé après un vieux chien de papa, mervyn, mais ne lui en parle pas, ça le rend triste à chaque fois ; bastian, le monstre sous ton lit mange des chips, alors si tu mets des chips au pied de ton lit tous les soirs, il viendra jamais te grignoter les orteilles ; belle tu savais que les haricots en réalité, c'était les pattes d'un animal végétal ?), mais l'oreille toujours attentive à leurs cris de désespoir, de découragement, de coeurs brisés. l'aîné sympa, l'aîné ami, celui avec qui ils peuvent tenter les choses - premier verre d'alcool, première clope. première ligne, aussi. tous un peu incités à se dérider, l'assomption qu'ils seront malins pour savoir la limite, s'arrêter, ne pas devenir addict sous aucune façon. ( two. ) le rêve de gosse, inspiré du père, de la mère adoptive, aussi. faire la fierté, l'honneur, ne pas être celui qui viendra souiller le nom des clarke. becoming someone, mais pas n'importe qui, quelqu'un d'admiré, d'éloquent. charisme naturel, attitude toujours soignée ; la fête ici, la fête là, mais toujours sous couvert de se reprendre, jamais le débordement de trop. juste de quoi profiter et s'amuser sans jamais perdre de vue le but final. succéder au père, faire encore mieux, surtout. plus riche plus jeune. les moyens donnés ou obtenus, toujours finir premier, les meilleurs résultats. pression auto-infligée, par peur de ne pas être assez s'il n'est pas le premier. la peur de décevoir quand il est le seul à ressentir ça et, rapidement, il ne veut que le meilleur. les meilleures écoles, les meilleurs profs, les meilleurs livres. toujours plus pour venir soutenir son perfectionnisme et c'est harvard qui brille de l'autre côté de l'océan. accepté avec la joie, la fierté et l'appréhension de s'envoler si loin, seul, la première fois. la seule idée en tête que celle de finir premier de la promo, toujours, quitte à y passer des soirées, quitte à abandonné le thé pour se mettre au café, quitte à y laisser un peu de la santé. efforts payants, diplôme en poche. lawyer affiché en toute lettre. premières années en tant que junior associate dans une entreprise, le droit du commerce sans aucun secret. il rêve de davantage, toutefois. corporate ou, par instant, l'hésitation toujours présente même après les années, même s'il est trop tard à présent, la criminal law. devenir procureur et continuer à gravir les échelons et tout au bout, peut-être, la politique. ( three. ) idée aussi folle que frivole, qui devient discussion sérieuse et poussée. la réflexion, les idées qui fusent et la décision, finale. se lancer. lizzie et lui (toujours elle et lui) pour percer et les aider à se faire un nom ; le leur plus que celui de richard et helena. clarke's mag. concept devenu concret, première édition entre leurs mains et le sourire toujours plus large de sa frangine. et sa fierté à lui, toujours plus présente. fier d'eux, d'elle. publicité, tâches partagées et petite création devient empire. siège social à new york, toujours plus d'employés, de gestion et l'ambition, toujours là, toujours à voir plus grand. le mag n'était que le début, l'envie de davantage, à creuser. il guette, cam, les soirées mondaines pour s'assurer qu'ils ne sont pas elizabeth and cameron, the clarke's children mais bel et bien lizzie and cam clarke. leurs noms retenu, leurs noms sur toutes les lèvres. la gloire, si proche. ( four. ) jeunesse étincelante, sourire charmeur, relations éphémères. aux états-unis pour les études, voyage ici et là pendant les congés, la présence aux soirées mondaines pour commencer à faire connaître son nom de ce côté-ci de l'océan. et le coup de coeur. les yeux sombres, la courbe élancée et le sourire ô combien tendre. la richesse dans sa tenue, l'élégance dans son attitude. dinah. les regards volés une heure durant avant d'oser l'aborder, l'accent britannique pour séduire. lui conquis, elle exquise. numéros échangés une fois la certitude confirmée : elle correspond à l'image qu'il s'est faite de celle avec qui il doit partager le restant de ses jours. sur le papier, l'alliance parfaite ; dans la réalité, l'amour sincère, logique et calculé. relation épistolaire et lointaine. elle à new york, lui à boston. billets d'avion multipliés pour la voir, la revoir, se l'ancrer sous la peau. les diplômes obtenus et la demande en mariage qui suit. vingt-cinq ans, l'amour passionnel, l'amour sacré. les carrières qui s'allient et se complètent, et cam, il a déjà tout planifié. l'avenir tout tracé, sans forcément la concerter. l'enfant deux ans après le mariage, il le faut (c'est mieux un enfant avant trente ans, pour avoir le second quatre ans plus tard) ; soulmate parfaite, l'assurance que l'idée est partagée, la question forcément abordée. mariage et enfant, chemin logique, attendu. aucune grossesse à l'horizon puis la perte de bastian, puis le manque de communication. cam qui se tend, cam qui se fige, cam qui redouble d'efforts. la pression toujours plus présente sur ses épaules, un an de perdu, puis deux, puis trois et la panique, toujours la panique, à ne pas comprendre ce qui cloche, ne jamais parler, pas avec dinah, peur de la perdre, peur de la risquer, elle et ce qu'ils ont. l'éloignement sans vraiment s'en rendre compte jusqu'aux papiers, la discussion pourtant toujours évitée. divorce. c'est trop, tôt, soudain. c'est un échec, il ne s'y résout pas, ne peut pas s'y résoudre, refuse de l'abandonner. coeur amer puis malade, il insiste. la signature manque, les mots aussi. ( five. ) et puis, il y a eu le repas de famille. ciel dénué de nuages, les rires, les conversations. pas de brise légère. pourtant, la tempête a surgit, tout balancé, tout brisé. les coeurs, les âmes, les esprits. un appel et c'est la famille clarke qui s'effondre. un appel et c'est le cri d'helena qui perce les discussions, richard qui s'efforce de garder son calme et le téléphone qui est raccroché. le silence étiré avant que le père ne lève un regard vers eux. bastian manquait. bastian ne viendrait pas. plus jamais. cam, il a pris exemple sur richard, il s'est voulu exemplaire. il a pris les choses en main, a conduit jusqu'à l'hôpital le premier, il a guidé lizzie et tous les autres. il a écouté les médecins jusqu'à ce que les médecins n'aient le verdict qui l'ont achevé. overdose. le mot qui résonne, répercussion dans son crâne. l'écho du mot à ses oreilles et une seule pensée, la même. it's his damn fault. cameron, obligé de fuir la fratrie pour s'enfermer dans les toilettes, la panique qui tient le coeur, incapacité à respirer. la vision qui se brouille, les pensées qui s'entrechoquent. et une seule vérité. overdose. les mains qui tremblent, la solitude, le silence. la douleur dans le coeur, comme l'impression de faire une crise cardiaque (l'ironie de suivre le petit frère, deux décès en une journée, ce serait cruel, n'est-ce pas). il survit. bastian ne revient pas. l'overdose comme pour lui rappeler quel mauvais exemple il a été, qu'en voulant être the funny big brother, il a été celui qui l'a plongé dans sa tombe. celui qui n'a rien vu, celui qui aurait dû voir, aurait dû se douter, aurait dû surveiller. les larmes qui suivent là, dans cette cabine exiguë, seul parce qu'il n'a pas le droit de se laisser aller, pas le droit de dévoiler la moindre faiblesse - ni d'admettre la vérité.

( v r a c ) possède une vision déplorable depuis l'enfance, censé porté des lunettes bien plus régulièrement qu'il ne le fait ; leur préfère souvent les lentilles (plus pratique dira-t-il quand c'est uniquement parce qu'il déteste voir son reflet avec des lunettes). // s'est remis à fumer depuis le décès de bastian pour lequel il se sent responsable. essaie de le cacher à la famille. // déteste perdre ou avoir l'impression d'échouer. du genre à insister, quitte à s'en rendre malade, pouvoir l'illusion de la réussite selon ses standards. // déteste les films d'horreur mais trop fier pour l'admettre, il en a vu un certain nombre pour garder son rôle de big bro qui n'a peur de rien. // voit un psychiatre depuis cinq ans, entre la pression qu'il se met tout seul pour l'empire, la culpabilité vis-à-vis de bastian mais il n'évoque toujours ni l'un ni l'autre parce que ce serait admettre l'échec et il n'y est pas encore prêt. // déteste les scones, boit finalement peu de thé (s'est mis au café à la place) ; ne sait pas refuser du pudding. // tendance à écouter la musique trop forte, c'est sa façon de se couper du monde et de parvenir à faire taire ses pensées. // des leçons de musique pour son éducation, violon comme instrument (le piano juste pour avoir une excuse pour en avoir un dans le patio). // déteste les lieux touristiques (n'a donc jamais vu buckingham palace ou le big ben, moins encore la statue de la liberté). // lecteur peu assidu, les classiques français ont toutefois son intérêt. //

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