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 becks crane

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Aladdin

Aladdin

- this is mePRESENT(E) DEPUIS : 19/07/2017 MESSAGES : 511 CREDITS : av/olympia.
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MessageSujet: becks crane   becks crane EmptySam 23 Jan - 19:52


♡ ♡ ♡ ♡ ♡
(rebecca, crane)

( FIRST NAME ) rebecca et contrairement à beaucoup, elle l'aime bien, son prénom. pas trop extravagant malgré parfois les goûts de ses parents, pas trop commun pour en croiser une à chaque coin de rue. elle doit ce choix au roman de daphne du maurier, une oeuvre qui aura marqué sa mère tout au long de sa grossesse et, finalement, inspirée le jour de sa naissance. elle a toutefois pris l'habitude de le voir diminuer en becks, par son entourage proche et les moins proches, elle l'use tant et tellement qu'elle se présente avec son diminutif la plupart du temps, maintenant. ( LAST NAME ) crane le nom volé à son époux lors de leurs épousailles, c'est avec un plaisir non dissimulé qu'elle l'a pris pour délaisser son précédent, delson le nom trop souvent associé à son père, le patronyme qui lui a fait défaut au début de sa carrière et qui, semble-t-il, porte malheur à quiconque le porte. ( ÂGE, BIRTH ) un premier cheveux blanc découvert avec horreur le cinq avril pile le jour de son quarantième anniversaire. elle m'a mal vécu, becks, à croire que c'était un signe du destin pour lui rappeler combien elle vieillit à vue d'oeil, lui rappeler que ses vingts sont loin, maintenant et elle préfère ne pas y penser davantage de peur de sombrer, à nouveau. on lui assure pourtant qu'elle a le bel âge, qu'elle ne les fait pas du tout, ses quarante balais (et bon dieu qu'elle déteste cette expression), il n'empêche qu'elle les a bien soufflé et qu'elle n'a pas eu d'autres choix que de l'admettre. ( ORIGINES, NATIONALITES ) chambre privée dans une aile à l'accès restreint, un hôpital presque trop luxueux et l'un de plus performant de l'état, c'est pourtant bien portland qui l'aura accueillie, cette jeune becks, prénommée le jour même de sa naissance par sa mère, le temps que le père ne revienne d'un meeting. comme ça a été le cas quasiment toute sa vie par la suite. toujours un train de retard pour monsieur delson, ses enfants n'ayant pas cette importance que devraient avoir les enfants aux yeux de leurs parents. ( EMPLOI ) longtemps journaliste d'investigation après avoir, brièvement, tenté de percer dans le journalisme politique, becks s'est vite retrouvée confrontée à la problématique de son nom de famille et s'est lancé dans le harcèlement de policiers à défaut de pouvoir rédiger sur les manipulations et horreurs politiques. sa dépression l'aura toutefois éloignée et elle a finalement rejoint le poste de police de cotton valley il y a six mois en tant que communiquée de presse. l'ironie est douce et douloureuse quand on sait pourquoi elle a tant travaillé pour devenir journaliste en premier lieu. ( STATUT CIVIL ) mariée depuis des années, un couple solide, qui a tout pour être heureux, qui tient contre vent et marée. l'amour qui s'est profilé petit à petit chez l'un comme chez l'autre, l'amour qui les a unie devant la loi et pour la première fois de sa vie, becks a eu l'envie véritable de fonder une famille. l'ombre au tableau s'est alors dessiné et maintenant, elle ne sait plu bien ce qu'elle est, becks, si ce n'est qu'elle est brisée. elle songe au divorce, becks, parce qu'à quoi bon continuer et en même temps, elle l'aime son mari, plus que tout et elle sait que ce n'est pas de sa faute à lui, ni même à elle, mais elle n'arrive plus à le regarder dans les yeux, elle n'arrive plus à le voir sans songer à la douleur et ça devient trop. ( STATUT FINANCIER ) $$$$$. outre l'héritage familial qui lui a permis de toujours avoir de l'argent sur son compte (parce que le père delson est peut-être une ordure mais il n'aurait jamais supporter que ses enfants deviennent pauvres), elle a surtout plutôt bien géré son argent jusqu'à présent. deux salaires complets et solides, peu de dépenses extravagantes, de quoi tenir et ne jamais avoir à se plaindre. ( ORIENTATION SEXUELLE ) une bisexuallitée découverte à l'université, c'est qu'elle n'y avait juste jamais songé jusqu'à présent, en réalité. elle préfère toutefois ses relations avec les hommes, tombe plus facilement amoureuse d'un homme que d'une femme, préfère leurs étreintes. ( GROUPE ) winter (askip)

( THIS IS WHAT I'M MADE OF ) bornée, tendance à la dépression, lâche, de mauvaise foi, mauvaise perdante, aucune résistance à l'alcool, besoin d'avoir le dernier mot, déteste avoir tort et se le faire remarquer. empathique, tendre, maternelle (la plupart du temps), patiente, déterminée, féministe, engagée.
autodescription en adjectif -- généreux, sentimental, délicat. quelle est ta soirée parfaite -- regarder la pluie tomber, au chaud sous un plaid avec une bougie allumée et un bon livre. ta fête préférée -- noël. une boisson -- iced coffee. une chanson -- october, u2. un plat -- soupe de potiron.

[ 01. ] elle est la fille d'un des sénateurs républicain de l'état de l'oregon. à sa naissance, il n'avait pas encore ce statut mais grimpait les échelons de la politique à grand vitesse, passant de district attorney à state attorney. le nom de delson n'était donc pas inconnu à portland, terre d'origine de ce prodige de la justice qui semblait avoir des idées innovantes quoiqu'un peu trop conservatrices. elle a grandit sans père véritable, l'homme trop occupé à vaquer à droite, puis à gauche, à tromper son épouse avec les premières prostituées qu'il croisait quand ce n'était pas sa secrétaire. l'épouse était conciliante, elle fermait les yeux, pour faire bonne figure, ne surtout pas faire de vague pour ne pas briser la carrière de son mari ou nuire à ses enfants mais becks, elle a vu, déjà gosse et elle a détesté cet homme qui n'a jamais levé le petit doigt pour sa famille. [ 02. ] elle a toujours été très entourée, rebecca. des milliers d'amis qui venaient, l'entouraient, la bichonnaient. ce n'est que vers l'adolescence qu'elle s'est rendue compte que tous celles et ceux qu'elle considérait comme de véritables amis n'étaient là que pour ses relations, pour se faire bien voir, pour profiter de son statut de daughter of. pas d'amis sincères pour becks, pas de véritables relations et elle a passé plusieurs années cloisonnée, à fuir toute conversation, à essayer d'échapper à son nom de famille qui lui porte malheur. [ 03. ] c'est à force d'entendre les discours mensongers de son père et d'entendre sa mère prendre sa défense qu'elle a choisi de devenir journaliste. elle était fatiguée des mensonges, épuisée de voir sa famille n'en être une que sur le papier alors elle s'est promis qu'elle ferai tout pour faire éclater la vérité et tant pis si elle devait faire tomber son père. naturellement, elle s'est lancée dans le journalisme politique. c'est qu'elle voulait prendre sa revanche, becks, crouler son père avec un rictus, voir son visage se décomposer et sa carrière partir en poussière. mais, là encore, son nom de famille a bloqué. jamais prise au sérieux, soupçonnée de vouloir contrôler les informations encadrant son père, elle a vite compris que sa place, elle ne pourrait pas la trouver dans le journalisme politique. alors elle a lâché, a préféré le journalisme d'investigation, s'est lancée dans des histoires morbides, a couvert des meurtres, des histoires de gangs. elle a même contourné la loi pour essayer d'approcher un prisonnier incarcéré (ce qui lui aura valu une belle caution salée). [ 04. ] elle est naturellement engagée politiquement. démocrate jusqu'au bout des orteils, grande admiratrice d'obama, nul besoin de préciser qu'elle a manifesté à plus d'une reprise lors de l'élection de trump. not my president, qu'elle a hurlé à plus d'une reprise tout en sachant que ça ferait enrager son père. [ 05. ] c'est sur le terrain qu'elle l'a rencontré. l'homme qui allait devenir l'homme de sa vie, son mari, son meilleur ami. il était un flic sur l'enquête qu'elle couvrait, elle l'a approché pour avoir des info. ils se sont revus, toujours dans le même cadre. elle a fait des recherches sur lui, elle a essayé de le piéger, de l'utiliser pour obtenir des info en avant-première. elle l'a d'abord séduit pour mieux lui tirer les vers du nez mais elle a craqué au passage, tombé amoureuse de ce caractère de feu, de cet homme qui s'en foutait bien de son nom de famille, qui se fichait qu'elle lui promette monts et merveilles s'il crachait le morceau. les premières années ont été difficile, les vieilles habitudes, l'une essayant de déceler des indices jusqu'à la maison, au li même parfois, avant qu'ils n'instaurent la règle de no work at home. elle n'en est que plus tombée amoureuse encore, s'est imaginé bâtir tout un avenir à ses côtés, admirative de sa dévotion pour son boulot, de sa droiture, de son honnêteté. ils se sont dit oui, ont commencé à parler famille. elle qui, pourtant, ne s'est jamais vraiment vu maman, qui ne voyait ça que dans un futur assez lointain voulait le devenir, là, dans l'instant. [ 06. ] durant cinq ans ils ont essayé, avec l'espoir de découvrir, un jour, deux barres. cinq années à compter les jours, à prévoir, à perdre toute spontanéité dans leur relation. cinq ans où ils ont eu l'impression de devenir des machines, des automates malgré l'amour qu'ils se sont portés. et puis, enfin, un résultat positif. un faux positif, il s'est révélé, parce que becks, elle le désirait tellement cet enfant que son corps a voulu le lui offrir, juste en illusion. puis un second positif. un vrai. l'espoir, le soulagement, la joie. avant qu'une traînée de sang au milieu de la nuit ne les réveille, avant que d'affreuses douleurs ne les obligent à se ruer à l'hôpital le plus proche pour y découvrir la nouvelle qu'ils attendaient. alors enceinte de trois mois, seuls la famille les plus proches avaient mis dans le secret mais ça n'a pas aidé. becks, elle n'a pu que s'enfoncer. trop épuisée pour essayer de nouveau, trop fatiguée pour en avoir même l'envie, trop effrayée à l'idée que ça recommence. qu'elle revive ce cauchemar. elle a sombré, puits profond et obscur. [ 07. ] sa dépression a duré plus d'un an et demi. mise en arrêt durant tout ce temps, suivie par plusieurs psychologues et parfois même psychiatres, placée sous anti-dépresseurs et anxiolytiques une première fois, puis une seconde lors de ses plus grosses rechutes. elle avait l'assurance de son rédacteur-en-chef et du directeur du journal que sa place lui serait conservée, qu'elle pourrait revenir quand elle s'en sentirait la force et le courage. ils ont déménagé à cotton valley, retrouver cette ex-belle-soeur avec qui elle s'est toujours si bien entendue, se rapprocher de ses neveux à défaut de pouvoir serrer son propre enfant dans ses bras. l'air frais lui ferait du bien, que tout le monde lui assurait. ça a aidé, assurément. il lui aura encore fallu plus de six longs mois après le déménagement avant d'envisager de reprendre le travail, toutefois. mais pas à portland. les trajets, elle ne se voyait pas les faire. alors elle a démissionné, tout quitté sur ce qui a semblé être un coup de tête pour le plus grand nombre et elle a rejoint le poste de police de la petite ville en tant qu'attachée de presse. c'est elle qui gère les informations qui sont divulguées, elle qui dévoile ce qui doit l'être, elle qui dissimule tout ce qui ne peut être dit. l'ironie du sort ne lui échappe pas, mais c'est mieux ainsi. son mari voit dans ce regain d'énergie une possibilité d'avenir. il glisse ici et là des allusions, l'adoption, notamment et becks, elle fait tout pour l'éviter. elle le fuit depuis des semaines, élude ses propositions, n'ose pas lui dire qu'en réalité, elle n'arrive plus à le regarder sans avoir mal au coeur, et qu'elle, elle envisage le divorce.

[ en vrac. ] c'est une très mauvaise danseuse. elle n'a ni le sens du rythme ni de la coordination de ses mouvements, ce qui fait d'elle une honte sur patte lors des mariages. -- l'âge jouant beaucoup, elle voit sa vue baisser et ce n'est pas pour lui plaire. alors elle force sur ses yeux, se provoque des migraines terribles mais tant pis, tout plutôt que de mettre des lunettes. -- elle a la phobie du vide, ne supporte pas de rester dans le noir trop longtemps et les espaces clos. -- à la surprise générale, elle écoute beaucoup de hard rock et de metal. même si elle leur préfère encore les grands classiques et que sa chanson préférée restera, à jamais, every breath you take (oui, malgré la réelle signification). -- elle est tombée dans la littérature quand elle était petite. que des romans avec, parfois, quelques essais politiques et elle doit le reconnaître, il lui arrive de lire des romances à l'eau de rose. -- elle pleure très facilement devant un film. le pire restant le film d'animation anastasia ; à chaque fois qu'anya et sa grand-mère se retrouvent, elle devient une madeleine. alors maintenant, elle coupe le film avant la fin. -- elle parle français, espagnol et a plusieurs notions de mandarin grâce au cours particuliers que son père tenait à ce qu'elle prenne. ça ne lui sert souvent à rien dans sa vie de tous les jours et elle ne s'en vante d'ailleurs jamais. -- c'est une pro au tennis, elle a un revers impeccable. -- elle a été surnommée monica par son frère à cause de sa tendance à être très maniaque, de son besoin de tout contrôler et parce qu'elle est très mauvaise perdante. -- elle a trouvé, avec l'aide de son ex-belle-soeur et ses neveux, un nom de code pour parler de son père : you know who.

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