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 irene abbott

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Aladdin

Aladdin

- this is mePRESENT(E) DEPUIS : 19/07/2017 MESSAGES : 478 CREDITS : av/olympia.
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MessageSujet: irene abbott   irene abbott EmptySam 23 Jan - 19:06


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(irene, abbott)

( FIRST NAME ) le prénom en hommage historique, pour toutes ces irene impératrices connues à travers les âges. prénom pourtant peu répandu, prénom peu croisé, même sur d'autres continents, elle a choisi de renier l'héritage byzantin imposé par son père pour se focaliser plutôt sur le personnage de conan doyle. irene comme la seule femme capable de percer la carapace de sherlock holmes, irene comme cette image de femme fatale avant l'heure. elle lit sans doute un peu trop à travers les lignes, a façonné sa personnalité en fonction de ce qu'elle a pu lire sur son prénom et toutes celles qui le portent dans des livres de fausse psychologie. ( LAST NAME ) abbott le patronyme récupéré après la mort de mark. l'ironie ne lui échappe pas, il aura fallu qu'il y passe pour qu'elle consente à enfin porter son nom de famille (et qu'elle devienne le detective abbott comme il l'a été avant elle). ( ÂGE ) quarante-et-un ans, les pattes d'oies au coin des yeux, les épaules affaissées parce qu'elle en a trop vu, trop su, trop subi, aussi. ( BIRTH ) 31/10 ( ORIGINES, NATIONALITES ) née ici-même, en plein coeur de detroit, hôpital sordide mais à l'époque où la corruption n'était pas encore le maître mot pour décrire la ville. déjà un peu malfamée mais pas que. du sang américain, les origines oubliées depuis plusieurs générations, plus rien ne compte, maintenant. ( EMPLOI ) la justice comme seul crédo, irene a rejoint le district vingt-quatre il y a plusieurs années, passée finalement inspectrice aux affaires internes. elle est persuadée qu'il y a des pourris, que c'est la seule explication pour l'agression. elle a la revenge dans le sang, irene, à vouloir trouver le ou les coupables pour les traîner devant un juge, les faire couler coûte que coûte. ( STATUT CIVIL ) l'alliance brûle son épiderme jour après jour sans qu'elle ne sache s'en séparer. coup à coup sur son doigt puis autour de son cou, ce n'est même plus la sienne qu'elle porte mais celle de mark. veuve depuis 2017, depuis que mark lui a été dérobé par une enquête menée, les mauvaises personnes titillées. son mark, assassiné puis abandonné dans une ruelle pour faire passer un message et oh que le message est passé, indeed. ( ORIENTATION SEXUELLE ) incapable de trouver le mot qui convienne le mieux, irene, elle n'a jamais aimé l'idée de donner un nom sur l'amour ou le sexe - deux choses qu'elle sépare, elle pour qui la monogamie reste une utopie bien qu'elle n'ait jamais eu ni boyfriends ni girlfriends durant son mariage. on la dit pansexuelle alors et elle ne contredit pas, irene, parce qu'il est vrai qu'elle aime tout, du moment que la connexion soit là. elle aime des personnalités bien plus que des corps, craquer pour l'osmose qui se créée quand elle apprend à connaître quelqu'un ; peut-être pourrait-elle s'affirmer demisexuelle alors mais dans le fond, elle n'en sait rien (et tous ces mots, elle ne fait que les entendre de la bouche des millenials, elle-même incapable de les comprendre réellement). ( GROUPE ) clouds

( THIS IS WHAT I'M MADE OF ) caractérielle, réfléchie, lunatique, introvertie, altruiste, dissimule ses pensées, arrogante, brisée, fait passer les autres en premier, full of trauma, menteuse, pleine de rancoeur, audacieuse, méfiante, dépendante, discrète, secrète, à l'écoute, tactile, rassurante, responsable, coquette, méticuleuse
astro -- scorpion (30/10); symbole de justice et de vengeance, signe effrayant et sombre. animal mal-aimé, phantasmé ici et là, perçu comme un poison qui ne sème que la mort sur son passage. est-ce là un signe de l'univers sur le destin d'irene, allez savoir (elle répondra toutefois que le scorpion semble être le signe astro des irenes). signes particuliers -- un minuscule papillon tout en ombre gravé à l'intérieur du poignet gauche. tatouage discret et, du fait, seul visible aux yeux de chacun. posé là pour représenté tout ce qu'elle a enduré, tout ce qui fait d'elle la personne qu'elle est aujourd'hui mais aussi, et peut-être surtout, la liberté qu'elle s'est octroyé en quittant le domicile familial. le papillon pour l'envol qu'elle a été capable de prendre, malgré la peur dans ses entrailles. trois cercles vides eux aussi discrets et minuscules, tant et si bien qu'on peine à les voir, dissimulés à l'intérieur de la cuisse droite. un pour ce sibbling abandonné.e derrière elle, un autre pour mark et le dernier pour l'enfant qu'ils n'auront jamais le loisir d'avoir, ni même de concevoir, ensemble. des traces de cicatrices, des ombres plus qu'autre chose, du passé, marques indélébiles des violences subies. parsemées sur son corps à divers endroits, certains s'effacent, d'autres encore trop visibles à son goût. la cicatrice de sa plus récente agression, celle de 2017, qui aura manqué de lui coûter la vie. bas du ventre côté droit, tir de balle impeccable. les autres souvenirs de ce jour terrible ont été emportés par le temps et irene, elle préfère que ça reste ainsi. music -- for the lover that i lost, sam smith (reprise de celine dion). que représente detroit -- la relation est complexe et pendant longtemps, irene aurait préféré n'avoir à jamais se poser cette question. elle a essayé, pourtant. d'y croire, d'aimer. de s'y sentir bien comme à la maison. mais les horreurs se sont succédés, les douleurs aussi et finalement, mise devant le fait accompli, la réponse est tombée. c'est la ville qui lui a tout pris. de ses espoirs à ses rêves, de son innocence à son âme. oh qu'elle déteste detroit, ses tours miteuses, ses gens pathétiques, son odeur, ses déchets, ses rues malfamées. son sang, celui qui ne cesse de se verser, de colorer les ruelles sombres, celui qui fait valser detroit dans la délinquance la plus pure. et pourtant, elle y reste attachée, les souvenirs encore présents, encore nombreux - heureux ou non, là n'est pas tellement la question, après tout. relation de love/hate, peut-être, à vouloir s'en évader sans y parvenir ; pas tout de suite, en tout cas. sa plus grande peur -- des visages comme autant de pattes pour venir moduler un insecte géant, un monstre phantasmagorique qui pourrait hanter ses nuits et ses jours. des bourreaux, des tourments ou bien des images liées au boulot, à l'horreur quotidienne de tant de gosses, d'elle aussi. mais ce n'est pas ça. plus ça, en tout cas, même si les ombres continuent de planer, les angoisses sous-jacentes et prêtes à surgir du néant pour écraser coeur et côte (il suffirait de les croiser dans un détour, ou de croire les croiser) mais elle est paralysée par l'idée d'échouer. l'échec sous toutes ses formes, ne pas être assez, jamais. la terreur d'être le second choix, celui fait par dépit, celle qui ne compte pas parce que trop nulle, trop conne, trop mauvaise, trop exigeante, trop hantée.

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Aladdin

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MessageSujet: Re: irene abbott   irene abbott EmptySam 23 Jan - 19:34

( THIS IS WHAT I'M MADE OF ) [ ONE ] enfant docile qui répond toujours quand on l'appelle. enfant discrète qui sans se cacher, voudrait toujours se faire oublier. des irene crachés d'une voix tonitruantes, des appels qui sèment la terreur dans l'esprit. des irene qui résonnent jusqu'au tréfond de l'âme. les sursauts nombreux dès que les pas se font entendre, que la voix s'élève, qu'un objet se brise sur le sol. des irene qui font trembler, regretter ce nom censé apporter la force des impératrices l'ayant porté auparavant (il y a si longtemps). enfant qui se fait toute petite, qui tressaute à la présence de ce couple rapporté. enfant à la gorge constamment nouée, aux larmes tellement séchées qu'elles auront cessé de couler avant le passage à la première dizaine. foyer partagé sans savoir qui héberge qui, les explications jamais véritablement données. mais uncle and aunt sont là, toujours au détour du couloir, à jamais travailler et irene, elle rentre tôt, ne peut pas traîner, ne doit pas traîner. et irene, elle est là sous leurs yeux avides, la tête basse. dos offert, poignet molesté, visage tuméfié. des jours d'école manqués, le maquillage rapidement apprivoisé pour dissimuler. et irene, elle est là, à subir, pour subir. langue mordue, cris étouffés, sanglots retenus. une, deux, trois. dix, vingt, trente. fois, coups. des semi admissions à l'hôpital passées sous silence, des regards qui fuient, des dénonciations qui se taisent. nobody will ever save her. constat amer après trois, quatre, cinq ans. pas même ses parents qui l'aiment (et elle le sait à la façon qu'a son père de caresser ses cheveux, à la façon dont sa mère l'enlace le soir dans son lit). pas même ce sibling qui pourrait prendre sa place - mais qui ne fait que servir d'alternative. enfance brisée, saccadée par les poings, les martinets, les ceinturons. personnalité éclatée. parler, c'est mourir. [ TWO ] les pages de carnets noircis. l'écriture petite, serrée et brouillonne, des ratures plein les lignes, des mots à peine visibles. elle se dissimule jusque dans sa façon d'écrire. pensées sombres, idées noires, elle note ce qui lui vient, poème ou humeur noire. d'abord encouragée par un psychiatre qui comprendra, qui aidera. parce qu'écrire évite d'avoir à raconter, à devoir faire confiance. alors elle rédige tout, irene, consigne les carnets les uns après les autres, tous soigneusement gardé dans une boîte intitulée résultats scolaires pour que personne ne fouille (pas même elle). l'écriture conservée, même après ces années, par habitude mais surtout par nécessité. la peur d'oublier ou de retourner à ces heures les plus obscures si elle cesse. la peur que tout ne recommence, encore et encore et encore si elle abandonne l'écriture - uniquement moment de pause. [ THREE ] les cheveux courts perçus comme un signe d'indépendance. bataille après bataille pour se les faire couper, toujours plus courts. elle s'acharne contre le refus parental sans le comprendre. jusqu'à ce qu'elle puisse comprendre, bien après avoir déserté ; they knew. que l'oncle attrapait par les cheveux, que la tante arrachait, tirait. cheveux longs retournés contre elle, cheveux longs qui s'enroulent autour du cou au milieu de la nuit. they knew and they never acted on it. ni le père, ni la mère, ni personne d'autre, tous aveugles ou prétenduement so. alors elle a tout coupé elle-même la première fois, nue devant le miroir de sa salle de bain. couper, couper, couper. arracher les souvenirs, ôter la possibilité que ça ne recommence. [ FOUR ] l'envie de s'en sortir au fond du bide. la certitude de la fuite inéluctable à la première occasion. just like her mother. seule pour plus de facilité. seule parce que la loi de la jungle régnait. her or them. elle s'est choisie, égoïste pour la première fois de sa vie. la rage au ventre, les chaînes éclatées. she chose life, encore, toujours, malgré l'envie d'en finir parfois, malgré les entailles pour cesser d'y penser, cesser de souffrir dans sa tête. instant de survie féroce, les griffes acérées, tout plaqué derrière elle, les souvenirs repoussés parce que ce n'est pas important. s'en sortir, se construire et le rêve accessible du bout des doigts malgré une scolarité en dent de scie. flic aucune hésitation. sauver, protéger, aider. pour ceux qui en auraient besoin, pour toutes les petites irene laissées pour compte, laissées à elles-mêmes. flic, pour donner l'impression d'exister, d'être utile (est-ce encore possible ?). sept ans au district huit, simple officier, l'écusson sur l'épaule, le sourire aux lèvres. tout était encore possible. puis le transfert au district 24, objectif atteint. ou presque. [ FIVE ] mark. le rire aux lèvres, la clope au bec. des allures de beau gosse, peut-être quelques années de moins, ou si peu de plus. mark. la remarque déplacée, la main toujours posée sur l'épaule, l'éclat de rire qui se propage. l'opposé qui attire, séduit, promet. mark. qui patiente, aide, console. mark. qui attend, retient, encourage. mark. à qui elle dit tout, la peur au ventre, les larmes aux yeux. she told him everything and he stayed anyway. sans jamais regarder les imperfections causé par un passé trop lourd, sans jamais questionner ou accuser. il est resté, une main dans ses cheveux, l'autre au milieu du dos. il a bercé, des heures et des heures. susurré, chuchoté, promis. mark. the one who stayed, the one who loved. pas à pas, main dans la main, à se voir en cachette, baisers dérobés entre deux shifts. rencontres illégales dans la salle des évidences, des caresses détournées au détour d'un couloir. auto-dénoncé au chef pour une officialisation, la bague offerte quelques deux ans plus tard - coup de folie. amour sincère, amour déchu, amour volé. she wanted to give him everything. elle n'a su que lui prendre la vie. la culpabilité ronge, soulève le coeur et l'estomac. de sa faute. l'injustice qui sévit dans son crâne - elle a survécu, pas lui, he deserved so much better. présente aux funérailles dans un fauteuil roulant avant de retourner à l'hôpital, trop mal en point pour être autorisée à rentrer - pas qu'elle l'aurait voulu. des jours à essayer de se souvenirs, à accepter les condoléances, la pitié, les promesses de trouver celui qui a fait ça. l'amertume qui gangrène le coeur, puis l'âme. des séances avec un psychiatre de retour, les anti-dépresseurs de nouveau prescrits. mais personne ne se doute qu'elle sait. there is a fucking mole in the precint. la décision prise à peine l'hôpital quitté et la chambre du motel louée (hors de question de retourner vivre chez eux quand il n'y a plus qu'elle). internal affairs. pour venger. mark, the one she loves. [ SIX ] un chiot adopté, de deux ans. petite boule de poils pour venir assurer la protection de l'appartement déniché (la maison encore invendue, ni même vidée). dressage en cours pour en faire une bête féroce, qui protège le territoire et sa maîtresse - dressé pour n'obéir qu'à elle. la seule chose qu'il parvienne à intimider pour l'instant sont les chaussons d'irene, grignoté un peu tous les jours. [ SEVEN ] la confiance en soi légèrement retrouvée. l'assurance apparente pour troubler les esprits. you're strong, you're smart. mots répétés tous les matins, tous les soirs, jusqu'à pouvoir enfin les croire. mots entendus par mark jour après jour, glissé au creux de l'oreille dans un état de somnolence. elle lui doit tout. jusqu'à ce petit amour pour ces freckles qui apparaissent chaque été à la lueur du soleil, à la base de son cou et jusque dans son décolleté. petites traces détestées jusqu'à ce que mark les embrasse parce que c'était ce qu'il préférait, chez elle. you're strong, you're smart, you're beautiful. peut-être qu'un jour, elle y croira. [ EIGHT ] villa en bord d'océan. la plage pour seul horizon. le bruit des vagues, les pieds dans l'eau, les yeux clos. un rêve. le leur, à l'origine, pour quand les grosses enquêtes auraient été classées, pour quand le test serait revenu positif. devenu le sien, nécessité plus qu'autre chose mas pour après. quand elle aura trouvé le.s responsable.s, quand elle enfermé, frappé, ou pire, l'indécision brillant ses tempes tous les soirs quand elle y pense et tous les matins au réveil.

[ EN VRAC ] craint toujours les grosses voix, ceux qui parlent trop fort, les cris, les gestes brusques. // toujours propre sur elle, collier de perles et rouge à lèvre carmin, la présentation et l'attitude soignée. manière à elle de dissimuler les fractures présentes à l'intérieur. // la préférence pour les alcools forts, ceux qui brûlent, qui tirent les larmes. un verre tous les soirs, la lutte pour ne pas que ça devienne plus - elle a besoin des idées claires. // danse interdite. manque d'aisance ou parce qu'elle s'interdit de se détendre, même un petit peu. l'impression de trahi mark, aussi. peut-être. sans doute. // tendresse inconnue pour les animaux, début de véganisme qui se profile (peut-être, she doesn't know). // tentatives de régimes pour essayer de rester focus plus que par soucis de son poids - quoique. poids égal apparence. // la voix maîtrisée en toute situation. les breakdowns ne se font que dans l'intimité d'une douche brûlante (ou de toilettes publiques, éventuellement). // des terreurs nocturnes distillées. une de temps en temps (une de trop). // la moralité devenue floue. capable du pire pour obtenir justice for mark, mais uniquement dans ce cadre-là. // certaines nuits, elle peut encore sentir les bras de mark autour d'elle. elle ne croit pas aux fantômes, mais ne peut pas s'empêcher de se demander. what if.
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