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 constance lewis

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Aladdin

Aladdin

- this is mePRESENT(E) DEPUIS : 19/07/2017 MESSAGES : 511 CREDITS : av/olympia.
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MessageSujet: constance lewis   constance lewis EmptyMer 17 Juil - 10:24


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(constance lewis)

( FIRST NAME ) lewis, son nom de jeune de fille. elle n'a jamais adopté celui de son époux (au grand damn de la mère de ce dernier) et maintenant qu'elle est certaine de ne plus l'aimer, elle est plutôt soulagée de ne pas l'avoir pris. ( LAST NAME ) le sang de ses ancêtres coulent dans ses veines. constance en honneur à sa grand-mère maternelle, une féministe affirmée qui a été suffragette à son époque et qui a toujours inculqué à ses filles de ne pas se laisser marcher par les hommes. violet en héritage de son arrière-grand-mère paternelle, une femme à la bonté sans pareille. ( ÂGE ) trente ans de douleur, d'amour envolé, d'idéaux brisés. de tristesse enfermée et de mensonges illusoires. ( BIRTH ) né le premier mars tôt dans la nuit, elle est originaire de boston, ville dont elle a hérité son accent prononcé et ses manies un peu brutales. ( ORIGINES, NATIONALITES ) américaine au point de connaître et reconnaître tous les accents du pays aux originaires françaises du côté de sa mère. ( EMPLOI ) résidente de deuxième année en pédiatrie et obstétrie. une vocation qu'elle ne se serait pas imaginé mais qu'elle est loin de regretter, à ce jour. ( STATUT CIVIL ) mariée. à un homme qu'elle n'arrive plus à aimer depuis plusieurs années maintenant. alors elle le trompe en espérant que son mari s'en aperçoive et demande le divorce. la première année, c'était avec un bel inconnu. maintenant, c'est avec l'un de ses collègues de travail pour qui elle commence à éprouve un peu trop de sentiment. maman d'un jeune garçon qu'elle adore et pour qui elle ferait tout. ( ORIENTATION SEXUELLE ) bisexuelle qui s'est essayé aux deux et n'a aucune honte à évoquer ses brèves histoires d'amour féminines. elle ne cache pas davantage sa préférence pour le sexe avec les hommes ; elle leur trouve un petit quelque chose de plus. ( GROUPE ) écrire ici.

( THIS IS WHAT I'M MADE OF ) 001. elle n'a pas toujours voulu être médecin. petite, elle rêvait de devenir actrice, puis procureur. son choix de carrière s'est stabilisé en entrant au secondaire, après avoir vu une intervention par des secouristes pour une élève de sa classe. 002. elle a choisit l'obstétrie à cause de sa grossesse. être enceinte et, par la suite, devenir maman lui a donné envie de s'occuper d'enfant et des mères à son tour. 003. elle a longtemps rêvé d'un beau mariage où elle serait habillée en blanc, avec une belle coiffure et surtout, de la magnifique alliance qui viendrait briller à son doigt. alors, naturellement, elle a dit oui au premier de ses petits amis qui l'a demandée en mariage. le malheur reste qu'après deux ans d'amour tumultueux et de disputes fréquentes, elle s'est aperçue qu'elle ne l'aimait plus. elle était enceinte et comme lui l'aime encore, elle est restée avec lui. mais plus le temps passe et plus elle souhaite divorcer, sans jamais faire le premier pas. 004. ça fait un an et demi maintenant qu'elle trompe son époux avec l'un de ses collègues, plus vieux qu'elle. au départ, ce n'était pas quelque chose de très sérieux mais elle développe de plus en plus de sentiments à son égard. 005. elle ne peut pas regarder la télé sans avoir un plaid ou une couverture sur elle. même en été, même lorsqu'il y a une véritable canicule, il lui faut sa petite couette pour se sentir à l'aise. 006. elle est obnubilée par son poids, à cause des remarques de sa mère quand elle était plus jeune. à l'adolescence, elle avait développé un trouble du comportement alimentaire, maintenant réglé, même si elle continue de surveiller ses repas et se pèse chaque semaine, scrupuleusement. 007. elle a appris le français car sa famille maternelle tenait à ce qu'elle le parle. mais le temps a passé et si elle est encore capable de se présenter correctement, les subtilités de la langue française sont trop compliquées pour qu'elle se vante de la parler. 008. son fils de six ans souffre d'épilepsie, la rendant ainsi surprotectrice avec lui. son époux étant moins inquiet sur la condition du jeune garçon, les disputes à ce propos sont nombreuses. 009. à l'adolescence, elle a eu sa période punk/rock/gothique. les trois mélangés pour créer son propre style, à ce qu'elle disait. avec mèche de couleur, regard blasé, toute de noir vêtue. ses amies de longues dates aiment beaucoup la taquiner sur cette période dont elle rougit tout le temps pour le simple plaisir de lui rappeler qu'elle n'a pas toujours été cette élégante étudiante en médecine qui s'habille en robe ou en jupe la plupart du temps. 010. ses chansons préférées sont toutes des chansons sur lesquelles elle pleure. sans qu'elle ne puisse l'expliquer, elle aime écouter ces chansons tard le soir, quand son mari est endormit et que seule les lampadaires de sa rue éclairent son salon et elle pleure. ça peut durer quelques heures comme quelques secondes. ça lui fait du bien. 011. elle fond toujours devant un bébé. pour elle, ils sont tous beaux, tous parfaits et il faudrait tous les protéger. pourtant, avant d'être maman, elle disait tout l'inverse ; que les bébés avaient une tête un peu étrange , qu'ils la mettaient mal à l'aise et que, franchement, ils étaient bien moins intéressants que des enfants d'un an. 012. elle regarde très souvent la météo. c'est une habitude, une sale manie, qu'elle ne peut pas vraiment expliquer. trop souvent, elle est sortie en jupe - ballerine pour se retrouver sous une pluie torrentielle ou dans une tempête de neige miniature. alors maintenant, elle préfère prendre le temps de court et être parée à toute éventualité. 013. elle n'aime pas la neige. elle adore regarder son fils jouer dedans, elle va parfois l'aider à faire un bonhomme de neige, mais derrière ses sourires, elle ne supporte pas la neige. d'une façon générale, elle n'aime pas le froid. 014. elle aime beaucoup jouer à la féministe pure, qui revendique l'égalité des droits, qui encourage les hommes à devenir infirmier et les femmes à devenir médecin. lorsqu'elle en a l'occasion, elle participe aux manifestations pour obtenir l'égalité totale des droits, notamment en ce qui concerne le salaire. mais c'est assez général : elle n'aime pas l'injustice ou la discrimination, peu importe sa forme. 015. malgré ses grands airs, elle est plutôt peureuse. si elle ne craint pas forcément les insectes (sauf les cafards, les araignées et à peu près tout ce qui peut bourdonner dans ses cheveux), elle est incapable de regarder un film d'horreur toute seule. certains thrillers la terrifient même.

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Scar

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MessageSujet: Re: constance lewis   constance lewis EmptySam 4 Avr - 16:15

Constance releva la tête de la fiche de soin et adressa un sourire à l’enfant qui se tenait le ventre à deux mains, les larmes ravageant son visage. Elle s’approcha de lui, serra la main des parents avant de se pencher de façon à être à la hauteur de la petite Emily. La petite fille renifla, relevant une main pour essuyer ses joues dévastées avant de gémir à nouveau à cause de la douleur. « Bonjour Emily, je m’appelle Constance. C’est moi qui vais te soigner aujourd’hui, d’accord ? » Emily voulut acquiescer, fut soulevée par un haut-le-cœur et Constance posa une main tendre sur son genou. « D’abord, j’ai besoin que tu me dises où est-ce que tu as mal exactement. Si tu ne sais pas, c’est pas grave, tu peux me montrer. » Sans se défaire de son sourire rassurant, Constance attendit que la petite fille se sente suffisamment mieux pour soulever son t-shirt et présenter d’une main tremblante son ventre avant de marmonner quelques mots que la résidente déchiffra comme étant un « J’ai mal au-dedans de mon ventre. » Le regard compatissant, Constance acquiesça lentement. « I know honey. Est-ce que tu as mangé quelque chose de spécial ce midi ? Ou bien ce matin peut-être ? » Entre deux gémissements, Emily réfléchissait, ses sourcils se touchant presque tandis qu’elle les fronçait pour se concentrer. Sa mère ouvrit la bouche pour intervenir mais Constance la devança et leva une main pour la faire taire. Il était important qu’Emily parle la première. Si l’un de ses parents intervenaient, l’enfant pourrait vouloir se taire. Ne plus oser parler. Emily secoua la tête, ses larmes redoublant et la résidente se mordit la lèvre. « C’était peut-être des bonbons ? Un peu trop de bonbons ? Tu sais, j’ai un petit garçon moi aussi et je sais qu’il adoooore les bonbons et qu’il aimerait en manger quand je ne regarde pas. Mais s’il en mange trop, il a très très très mal au ventre. » Une grimace pour faire comprendre à l’enfant que ce n’était pas non plus agréable mais que ça ne restait pas grave. La réaction ne tarda pas à se faire : la petite fille baissa les yeux, visiblement honteuse et les premières larmes de culpabilité commencèrent à remplacer les précédentes. Toujours tendre, Constance se pencha un peu davantage vers l’enfant, lui adressa un sourire encourageant. Et les mots sortirent d’eux-mêmes, libérés de la barrière qu’elle s’auto-infligeait. Surdose de médicament. Quelques granules délicieusement sucrés mais pas toujours recommandées en grande quantité. Constance lui serra l’épaule avec tendresse tandis que la mère de l’enfant venait l’enlacer pour rassurer sa fille, libérant ainsi la résidente qui se releva et donna les premières instructions aux infirmières.

★ ★ ★

La porte se referma en douceur, presque sans un bruit. Constance s’avança dans le couloir, retirant chaussures et manteau à mesure que le son de la télévision lui parvenait. Elle tendit l’oreille. Un dessin animé. Sans doute encore un Disney. Un sourire apparut sur ses lèvres et, après avoir déposé son sac sur la commode postée à l’entrée, elle rejoignit mari et enfant dans le salon. Si le premier se contenta de lever les yeux vers elle, le second eut un immense sourire et vint se précipiter dans ses bras. « Mamaaaaaan ! » Mère protectrice, Constance l’enlaça avec amour et déposa un premier baiser au sommet de son crâne avant d’en planter un second sur la joue de l’enfant. Son petit ange qui continuait de se coller contre elle, peu importe qu’elle soit aussi froide que la neige ou qu’elle ait encore l’odeur des médicaments de l’hôpital. Elle se redressa légèrement, passa une main affectueuse dans les cheveux de son garçon. « Ça a été à l’école, mon chat ? » L’enfant acquiesça vivement alors que son père se décidait finalement à apparaître dans l’embrasure de la porte, les bras croisés et un sourire tendre sur les lèvres. Constance l’aperçut et elle ravala un soupir. L’attitude de son époux l’épuisait. Il n’y était pour rien, elle le savait. Son seul vice était d’être encore amoureux de la même femme après plusieurs années. Mais il l’épuisait. Parfois même par sa simple présence. « Tu as fait tous tes devoirs ? » L’enfant eu une moue, il marqua une hésitation et, comme sa mère le regardait de façon insistante, secoua la tête, sincère. Elle retint un petit sourire avant de l’enlacer une nouvelle fois en mère protectrice. « Alors vas vite les terminer et après on mangera et ensuite je te lirai une histoire, d’accord ? » Le regard du gamin s’éclaira et elle retint un petit rire. « Celui de l’ours qui veut manger les oies mais que les oies ils éclosent et appellent l’ours maman ? » Ce fut à son tour à elle d’acquiescer et l’enfant, ragaillardi par cette bonne nouvelle, se précipita dans sa chambre pour accomplir son devoir. « Il s’est encore fait voler son goûter, » l’informa Tim alors qu’elle passait devant lui. Elle ferma les yeux en sentant son regard se faire insistant et elle se retourna pour lui faire face. « Quoi ? Que veux-tu que je te dise ? On lui en a parlé, on lui expliqué qu’il ne devait pas se laisser faire, son instit’ est au courant et ne fait rien pour y remédier. Que veux-tu que je fasse de plus ? » Tim haussa les épaules et Constance sentit ses derniers nerfs lâcher. Se retenant in extremis de l’engueuler, de l’insulter, elle porta une main à ses tempes. « Je vais aller prendre un bain. On en reparle demain. » Ou un autre jour. Ne se rendait-il pas compte que ça faisait des mois qu’elle évitait toute conversation sérieuse avec lui ? Ne voyait-il pas qu’elle le fuyait de peur de finir par lui dire ces mots qu’elle se refusait à admettre à voix haute ? Qu’elle ne l’aimait plus. Qu’elle ne voulait plus de lui. Ni dans sa vie, ni dans son lit.

★ ★ ★

Les soupirs prenaient possession de la pièce tandis que la température semblait monter de quelques degrés. Les draps, devenus froissés par tant de mouvements répétés, continuaient de se tordre sous la pression des deux corps parfaitement enlacés. Les mains cherchaient à conquérir chaque parcelle de cet autre corps adulé, jusqu’à retrouver les doigts de l’autre et de les retenir durant l’instant suprême. Les yeux s’ouvraient alors pour s’affronter. Et si les lèvres étaient proches, elles se ne se joignaient pas. Pas encore. Les souffles, eux, se mélangeaient déjà, entremêlés au même rythme que les jambes reliées entre elles, que ces corps qui s’emboîtaient avec un tel naturel qu’on les aurait cru pensés pour cela. Pour cet acte. Et, les yeux dans les yeux, le souffle haletant et le cœur battant, Constance retenait les mots qui, de plus en plus, tentaient de se frayer un chemin dans sa gorge pour sortir. Pour venir se faire entendre de l’autre. Du complice. De l’autre moitié de ce crime de chaire. Ils restaient enlacés un instant. Il avait la main dans ses cheveux, son nez qui venait s’enfouir dans son cou et elle rejetait la tête en arrière, toujours plus désireuse de ses caresses. Il la rendait folle. Folle d’une passion qu’elle n’avait plus ressentie depuis des années. Et quand, enfin rassasiés de cette faim, quand ils avaient repris leur calme et que la nuit se faisait plus profonde, il s’éloignait d’elle, Constance se relevait, la gorge nouée. Ils échangeaient un regard, plus long que les précédents, et tous deux retenaient des mots qui voulaient sortir. Il se rhabillait, elle s’allongeait, nue sous le drap, tendait la main vers la table de chevet et récupérait son alliance. Mais ce soir, alors qu’il allait prendre congé, alors qu’il allait sortir par la porte, elle se redressa, le drap venant dissimulé sa poitrine, mue par une soudaine pudeur. « Reste. » Il s’était retourné, surpris. Et elle l’était aussi. Qu’elle ait l’ardeur de le lui demander. C’était comme faire un pas dans l’inconnu. Plus éloigné encore de ce confort que lui avait procurer le mariage durant des années. Mais c’était aussi se jeter dans les bras de quelque chose de mieux. D’agréable. De conquis. Il y avait cette hésitation qu’elle lisait dans sa posture et elle baissa les yeux. Jusqu’à ce que, contre tout attente, elle sente le lit s’affaisser et qu’il vienne s’allonger à ses côtés. Lui vêtu, elle, nue. Mais leurs regards ancrés. Et alors, ils avaient parlé toute la nuit.
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